Voici sonnée l’heure du départ Fin annoncée de ces matins flemmards Pour mon ado qui dort souvent bien tard
Voilà l’automne qui s’invite, pluvieux Pour nous accompagner : ses cieux Chargés de souvenirs en camaïeux
De Giverny à Sylvains les moulins De parfums luxueux en air salin De jolis détours et quelques gros câlins
À Cabourg découvrir la vitesse dans l’eau Et moi de loin sentant naître des trémolos Dans ma voix inaudible impossibles allos
De Villers-Bocage...