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En plus de 100 ans, la culture biologique a pris différentes formes. Toutes ont un intérêt pour le jardinier qui se préoccupe de son environnement et de sa santé.
La biodiversité n’est pas seulement valable pour décrire la Nature. On peut utiliser cette manifestation de la Nature pour favoriser la vie au jardin comestible.
Il existe d’autres façons de cultiver des fruitiers qu’en monoculture, comme dans un verger. Le passé nous offre de beaux exemples.
À l’aide de très basses technologies, ayant des impacts environnementaux très limités, il est possible de cultiver un peu plus tôt au printemps et un peu plus tard à l’automne.
Plusieurs plantes indigènes du Québec offrent des fruits savoureux. Elles peuvent facilement être incluses dans un jardin comestible.
L’analyse de sol traditionnelle donne des indications limitées sur les propriétés physiques, chimiques et biologiques du sol. Il existe d’autres manières simples et peu coûteuses et faciles d’obtenir plus de données.
Contrairement à une idée largement véhiculée, les plantes n’ont pas uniquement besoin d’azote, de phosphore et de potassium pour croître. Elles se nourrissent par l’atmosphère, sa principale source de nourriture, et ensuite par le sol.
Le processus de biodégradation de la matière organique a différents impacts bénéfiques sur le sol et sur les plantes. La matière organique est en fait à la base d’un sol vivant et de plantes en santé et productives.
Un balado où l’on découvre comment les « mauvaises herbes » sont en fait des herbes spontanées qui peuvent être des alliées au jardin.
Souvent associée à des pratiques de jardinage, la permaculture est en fait un processus de conception et de design. Voici donc une analyse personnelle sur le concept de permaculture.