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Comment choisir un métier ? Faut-il être passionné·e·s pour être certain·e·s de s’épanouir dans une branche tout au long de notre vie ? Jeunes ou moins jeunes, nous nous sommes toutes et tous retrouvés à un moment donné, face à ces questions que se sont posées Paul, Grâce, Alexandre, les apprenti·es vendeur·ses du C3A d’Antony...
La naïveté de l’enfance, est-ce quelque chose que l’on perd forcément en grandissant ? Comment réintégrer un peu de ces moments d’émerveillement à nos vies ? Que l’on soit danseur du Ballet de l’Opéra de Paris comme Florian Magnenet, apprentie à la Haute École de Joaillerie comme Janaïna, chanteuse comme Angèle Chemin ou encore décorateur sur costume comme Bernard Connan, dans l’art et dans leur métier se niche le luxe de rester connecté·e à sa vie d’enfant et à sa créativité...
Doit-on suivre ses rêves ou emprunter une autre voie ? Comment trouver sa liberté dans la contrainte ? Pour atteindre ses objectifs, il faut parfois apprendre à jouer avec les règles, à jouer tout court pour se découvrir différemment, révéler sa personnalité...
En choisissant un métier, on choisit aussi un environnement, des lieux dans lesquels passer ses journées, un atelier pour façonner les années à venir. À l’Opéra, le décor, lui, se monte et se démonte au cours de la saison pour laisser chaque fois la place à de nouveaux imaginaires. Dans cet épisode, Nicolas rencontre Gautier Dragna, menuisier constructeur de décors qui lui explique que pour créer, bâtir, il faut travailler en équipe, quel que soit son corps de métier...
Comment sait-on, à 15 ans, qu’on choisit la bonne branche ? D’où viennent nos goûts, nos envies ? Quand on est perdu·e, il faut faire confiance à quelque chose qui nous dépasse, qui se niche profondément en nous. Le choix d’un métier remonte parfois à loin, un souvenir, une histoire de famille, un héritage, comme en témoignent Anas et Lissandro, les apprentis cuisiniers de l’École Ferrandi St Gratien ou Jean-Marc Alby, accessoiriste d’atelier...
Plus on a conscience de son corps, plus on peut être minutieux dans le geste technique. C’est souvent le côté manuel et la précision de la sculpture qui ont poussé Lauriane, Anthony, Stacy et Logan, les apprenti·e·s prothésistes dentaires du bac professionnel de Bobigny à choisir ce métier. Et comme le dit Pauline Thomas, chanteuse lyrique : tout part de notre corps, elle travaille donc avec eux le chant pour, les rapprocher toujours un peu plus de la matière...