Les beaux parleurs ‐ La 1ère

L'équipe revient sur l'actualité de la semaine marquée par le licenciement de 25 personnes au Temps et les sonnettes qui ne sont plus obligatoires sur les vélos.

La chronique humoristique de Nathanaël Rochat aux "beaux parleurs": "Ils ont refilé le Département de l'armée à Parmelin en se disant qu'il pouvait pas faire pire qu'Ueli Maurer, le problème c'est qu'il est en train de relever le défi!".

Ce dimanche, les "beaux parleurs" seront trois, comme à l’accoutumée: Coline de Senarclens, Gabriel Bender et Nicolas Tavaglione. Avec Michel Zendali, ils revisitent l’actualité de la semaine et c’est Nathanaël Rochat qui se charge de mettre une poignée d'humour dans leurs échanges...

"Après Donald Trump et le Brexit, Marine Le Pen peut-être le dernier signe de l'apocalypse. Sortez les parapluies, il va bientôt pleuvoir des grenouilles".

Maurane Riesen est biologiste doctorante en épidémiologie à l’Université de Berne. Issue d’une famille germanophone, fille de pasteur réformé, établie à Sonceboz dans le Jura bernois, à un saut de puce de Bienne, elle est autonomiste et socialiste.

L'équipe discute ce dimanche des mots qui caractérisent l'année 2016, des post-vérités ou faits alternatifs qui critiquent notamment les médias traditionnels et le retour l'identitaire collectif.

Ce dimanche, les "beaux parleurs" ont pour nom Suzette Sandoz, Slobodan Despot et Michel Audétat. Ils seront accompagnés de par l’humoriste Charles Nouveau. Les quatre convives revisitent l’actualité de la semaine sous la direction de Michel Zendali. En deuxième partie d’émission, le quatuor reçoit Maurane Riesen, 26 ans, première femme à présider le Conseil du Jura bernois (CJB)...

Les "beaux parleurs" de ce 5 février ont pour nom Claude-Inga Barbey, Michel Audétat et Gabriel Bender. Avec Michel Zendali, ils se disputeront sur quelques thèmes et sujets qui ont émaillé l’actualité de la semaine écoulée. C’est Marina Rollman qui tient le rôle de l’humoriste de service, mais pas que...

L'équipe revient sur l'actualité de la semaine marquée par la soirée de gala du FC Sion qui a rassemblé presque 8000 personnes, le débat sur l'enseignement de l'informatique à l'école et la politique de Donald Trump anti-immigration aux Etats-Unis.

Michel Bühler est né à Sainte-Croix en 1945. Il deviendra instituteur. Quand il est encore à l’école normale, il gratte la guitare et chante Brassens avec ses copains. Puis il écrit ses premières chansons, monte à Paris et enregistre son premier 45 tours. Un soir, à Genève, on le présente au Québécois Gilles Vigneault. Ils tombent en amitié et ne se quitteront plus. Viendront quinze années à Paris, insouciantes et fructueuses avec la maison de disques l’Escargot fondée par Vigneault...