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Tous les jours pendant le confinement destiné à limiter la propagation du coronavirus, le journaliste et auteur normand Philippe Bertin partage son "journal d'un confiné". Le jour 44, le souvenir du muguet des 1er mai d'avant fait flotter un parfum de nostalgie. Les brins de muguet vendus au coin de la rue par des gamins aux sourires larges vont manquer au premier jour du joli mois de mai. Mais le COVID-19 n'a pas le pouvoir de faire disparaître le parfum des fleurs et ses promesses...
Le journaliste et auteur normand Philippe Bertin partage avec nous les pages de son journal de confiné. Jour 43, les animaux seront-ils les victimes collatérales du COVID-19 ? C’est la question que pose depuis plusieurs jours la Société Protectrice des Animaux. Comme toutes les associations de protection animale, elle a fermé au public tous ses refuges, Maisons SPA et dispensaires jusqu’à nouvel ordre...
Le journaliste et auteur normand Philippe Bertin partage avec nous les pages de son journal de confiné. Jour 42, très rapidement après la décision du confinement général sont apparus des problématiques capillaires d’une importance capitale. Les cheveux en liberté prennent leurs aises au galop, tels des étalons sauvages avides de grands espaces. En l’absence de taille régulière, le cheveu peut très vite se révéler envahissant pour celles et ceux qui n’y sont pas habitués...
Le journaliste et auteur normand Philippe Bertin partage avec nous les pages de son journal de confiné. Jour 41, c’est bon une chanson douce, ensemble, en plein air ou dans une salle. C’était bon ! Depuis six semaines, nous sommes privés de concert, de théâtre et de cirque, de cinéma et d’apéros. Les multiples live sur Internet et les concerts aux balcons à 20h ne remplaceront jamais le bonheur de goûter, côte à côte, les joies du spectacle vivant, en chair et en os.Podcast by Tendance Ouest
Le journaliste et auteur normand Philippe Bertin partage avec nous les pages de son journal de confiné. Jour 40, le 6 juin, la Normandie célèbre chaque année les jeunes soldats qui ont débarqué sur les plages pour libérer l’Europe du virus nazi. Ce 6 juin 2020, 76 ans après, la Normandie ne pourra pas fêter ses libérateurs à cause d’un autre virus, invisible, lâche et dévastateur.
Le journaliste et auteur normand Philippe Bertin partage avec nous les pages de son journal de confiné. Jour 39, comme pour une multitude d’autres secteurs professionnels, taxi ne rime pas bien avec confinement. La restriction draconienne de la liberté de circuler ne favorise pas… la circulation. Les taxis sont à la peine, à l’image d’un pays à l’arrêt. L’occasion de revoir « Taxi Driver » de Martin Scorsese avec Robert De Niro, sorti en 1976.Podcast by Tendance Ouest
Le journaliste et auteur normand Philippe Bertin partage avec nous les pages de son journal de confiné. Jour 38, dès les premiers jours de confinement, les animaux sauvages –ils en restent quelques-uns- de tout poil ont vite compris que l’Homme n’avait plus le droit de s’agiter fébrilement en dehors de sa cabane...
Le journaliste et auteur normand Philippe Bertin partage avec nous les pages de son journal de confiné. Jour 37, devant « la nécessité de rebâtir notre monde demain », Michel Onfray et ses amis lancent une nouvelle revue trimestrielle « Front Populaire ». Le philosophe médiatique, originaire d’Argentan dans l’Orne, a réuni, en quelques jours seulement, plus de 4900 souscripteurs. Le premier numéro sera livré en juin prochain...
Le journaliste et auteur normand Philippe Bertin partage avec nous les pages de son journal de confiné. Jour 36, ce n’est pas une découverte, depuis leur avènement, on trouve de tout sur les réseaux sociaux. Le meilleur, le pire, le bon et le mauvais goût, les héros et les minables se côtoient dans une joyeuse foire à tout… ou rien. La toile est bavarde et l’autosatisfaction jamais à court d’idée...
Le journaliste et auteur normand Philippe Bertin partage avec nous les pages de son journal de confiné. Jour 35, « faire ses courses » est d’une importance capitale en ces périodes de confinement. Hier encore, se nourrir était un acte des plus banals pour la majorité des habitants de nos pays développés. Aujourd’hui, le ravitaillement a repris sa fonction première : fournir la cellule familiale en vivres. Au-delà des vivres, la possession de certains produits du quotidien s’avère stratégique...