Gesamtlänge aller Episoden: 7 days 5 hours 51 minutes
En ces temps troublés PBG offre le réconfort des certitudes, Sean chante Noël (après avoir mangé ses raisins)...
L'hiver est là, les jours raccourcissent, l'obscurité s'installe, et avec elle la brume, celle qui floute les gens, les rues, la réalité.
Un temps véritablement psychotrope, inéluctable drogue bruxelloise, qui donne envie de s'y abandonner et d'y plonger plus avant en disparaissant en plus dans d'autres fumées plus ou moins licites...
Guerre totale, larvée, imaginaire, symbolique, ou guerre réelle, pleine de viscères et d'os entremélés, état naturel de l'homme entre deux moments improbables de paix (ou l'inverse ?), sujet de livres, de chansons, ou de blagues potaches, voici une thématique large, immense, terrifiante, mais qui ne nous fait pas peur.
PBG parle de guerres.
Hauts les coeurs...
Dans un précédent épisode de PBG on a appris qu’il n’y avait non pas quatre mais cinq éléments et que le métal en faisait partie. Dans un autre récent épisode de PBG (c’est dire comme on a de la suite dans les idées) on parlait fusion et ville thématique soviétique...
Exploration musicale légère et divagatoire de ce qui n'est pas une couleur, mais tout comme.
Des morceaux sobres, des morceaux sombres, des morceaux d'ombre, des morceaux bombe, des morceaux tombe, des morceaux sans rapport, des morceaux tout noirs, il y aura un peu de tout ça pour vous, avec une playlist préparée par votre équipe de fiers gothiques pas vraiment gothiques...
A PBG, lorsque nous faisons nos mythiques réunions de rédaction, fumant gitane sur gitane, dans une vieille odeur de café froid, ça fusionne de partout.
Et comme nous sommes vieux, nous nous souvenons de la fusion, ce genre terrifiant des années 90.
Certains rèvent de passer de la fission à la fusion.
Ou font pêter des bombes dans le désert...
LA MORT.
Un sujet dont l'on s'occupera un jour, avant qu'il ne s'occupe de nous.
En attendant, les joyeux drilles dépressifs de PBG vont vous proposer durant cette émission un voyage musical au pays de la mort, une excursion en ce territoire sans retour, une errance au sein de morceaux hantés par notre inéluctable futur à toutes et tous.....
Sur un fond de mur de flammes, le personnage principal boit un cocktail au bord d'une piscine.
Dans la maison climatisée, il fait 19 °C.
La lumière est aveuglante.
Le personnage principal n'a pas dormi depuis trois jours.
Seul souvenir des jours de pluie, sa vision périphérique.
Il tente de manger une merguez cuite à la chaleur du brasier.
La fin...