Comme si postuler à l'université n'était pas déjà assez stressant, les jeunes désavantagés sont souvent encouragés à parler de leurs pires traumatismes dans leurs lettres de motivation, créant ainsi des récits de résilience vendeurs qui transforme "la peine en force", explique Tina Yong, étudiante en science politique. Elle met cette norme douloureuse en lumière, explorant ses méfaits et proposant un procédé plus équitable pour toutes les universités.