Victime d’un retrait non-consenti du préservatif, ou stealthing, Margot a choisi de témoigner pour sensibiliser à cette violence – trop peu dénoncée et non-reconnue par la loi en France –, mais aussi pour “inciter les femmes à reprendre le pouvoir sur leur protection, et ainsi, leur indépendance” grâce à l'association AIDES.