Depuis plusieurs mois maintenant, certaines denrées de grandes consommations, telles que: la tomate et l'attieké (c'est-à-dire le couscous de manioc) manquent sur le marché ivoirien. Les paysans mettent cela sur le compte de la sécheresse. Qu’en est-il exactement ? Et il est aussi question du savoir faire du Burkina en la matière.