En 1907, la peine de mort aurait pu, déjà, être abolie. Le président Armand Fallières était un farouche opposant aux exécutions. La chambre des députés, acquise à sa cause, s’apprêtait à voter l’abolition. Mais le 31 janvier 1907, le meurtre de la jeune Marthe Erbelding, va changer l’opinion des députés et repousser l’abolition de la peine de mort. Un inspecteur et ses hommes trouvent un colis qui n’a manifestement pas bougé depuis plusieurs jours à la consigne de la gare de l’Est. À l’intérieur, le corps de la petite Marthe est recouvert de sang.