«Un peu plus de Suisse dans le monde et le monde irait un peu moins mal». Tout auréolé de son titre de suisse de l’année, le conseiller fédéral Didier Burkhalter avait lâché cette phrase d’une prétention plutôt inhabituelle au terme de son année de présidence. Une équipe de Temps Présent a pris le ministre au mot. Elle est partie au Liban, - un pays en grande difficulté depuis qu’il accueille sur son sol 1’200'000 réfugiés syriens - voir ce que la Suisse y faisait et pouvait encore y faire «pour que le monde aille un peu mieux»…